Lors du rendez-vous annuel de l’oncologie, des résultats encourageants ont été présentés, notamment sur les formes métastatiques. Une de ces molécules, contribuant à limiter la résistance aux traitements, a été évaluée à l’Institut Curie.
Le cancer du sein touche plus de 2 millions de personnes dans le monde et provoque encore 670 000 décès, selon les chiffres de l’OMS en 2022. Bien que le taux de survie soit élevé pour les personnes atteintes de stades précoces, il chute à 30 % après cinq ans pour les formes métastatiques de la maladie. D’où l’attente importante autour de nouvelles stratégies thérapeutiques.
Source : L’usine Nouvelle